dimanche, janvier 29, 2006

Fullmetal Alchemist, le film (enfin !!!)

!! Message contenant divers spoilers : Desperate Housewives, Fullmetal Alchemist et Fruits Basket 16 !!

Vendredi soir fut une soirée assez tristounette (et je parle même pas des essais ratés pour faire marcher correctement Yahoo! Messenger en mode conférence…)
J’ai tout d’abord regardé le dernier épisode de Desperate Housewives que j’avais raté lors de sa diffusion sur Canal+. Sans rentrer dans les détails, j’ai été très touchée par ce qui arrive à Bree à la fin de l’épisode. J’ai trouvé la scène très réelle et je me suis fortement identifiée à ce personnage. Pas pour son côté « tout est impec’, bien lustré, bien rangé » (ceux qui me connaissent un minimum savent bien que je suis aux antipodes, mais je me suis sentie proche d’elle pour l’amour qu’elle portait à son défunt mari. Quand elle reçoit le coup de fil fatal annonçant la mort de son époux et qu’elle continue à lustrer l’argenterie de leur mariage, symbole fort de leur union qui avait été ternie puis qu’elle s’acharnait à faire briller à nouveau, avant de s’effondrer, terrassée par le chagrin et surtout par le vide qui remplit peu à peu sa vie. J’ai trouvé ça très juste et je n’ai pas eu de mal pour ressentir la même chose qu’elle. Que se passerait-il si la personne qui partage ma vie disparaissait brutalement ? C’est une question qui me hante depuis bientôt sept ans (et qui, je l’espère, me hantera jusqu’à la fin).
Au delà de l’histoire tragique de Bree, la série touche souvent juste dans son traitement des sentiments humains, même s’ils sont bien sûr exagérés. Vraiment, une des meilleures séries récentes.

Pour continuer dans les valeurs sûres, j’ai enchaîné avec le film de Fullmetal Alchemist qui, fort heureusement, reprend là où s’était arrêté la série animée. Le scénario se tient parfaitement bien et les auteurs ont réussi à garder l’intérêt du spectateur en éveil malgré l’absence d’alchimie dans une grande partie du métrage. C’était pas gagné. En plus, c’est bien animé, bien dessiné, bien mis en scène et en musique, une grande réussite. Bon, le plus important est quand même que les deux frères se retrouvent malgré les nombreux obstacles qui se dressaient sur leur chemin. Et ça, ça donne une scène hyper touchante, regorgeant d’amour fraternel et d’espoir pour l’avenir. Vous me direz aussi, j’ai la larme facile. Mais quand même, quand on a un frère ou une sœur, on rêve d’entretenir une relation aussi profonde et aussi pure que celle qui unit Al et Ed. Et en général, c’est plutôt rare…

Et pour m’achever, Fruits Basket tome 16 ! T_T C’est pas croyable, je me les cherche, moi ! Dans ce volume, on apprend la rencontre des parents de Tohru. Kyoko, sa mère, jeune rebelle faisant partie d’une bande de mauvaises filles, s’éprend de son professeur stagiaire, un jeune homme plus âgé qu’elle mais qui porte en lui les mêmes blessures et le même vide qu’elle. Ensemble, ils vont se construire en s’apportant mutuellement l’amour dont ils ont manqué. Ils vont avoir une adorable petite fille, Tohru (oui oui ^^) qui va leur donner encore plus d’amour et de joie (mais moi j’aime pas les enfants, ça marchera pas). Et là, c’est le drame. Le père de Tohru meurt prématurément, emporté par une mauvaise grippe, laissant Kyoko seule avec sa fille. La jeune femme, déjà fragile au départ, se retrouve abandonnée de son seul repère et va être tentée de commettre le pire, oubliant presque sa petite fille… Presque. C’est justement Tohru qui va reconnecter sa mère avec la réalité. Tohru, repêcheuse d’âmes.
Une fois de plus, je me suis mise à la place des personnages et j’ai versé ma petite larme. Ah, mais je sais que ces sentiments sont universels et qu’il est facile d’émouvoir les gens avec de tels ressorts, mais c’est très bien amené, c’est naturel. Ce n’est en aucun cas pathétique et gros. Natsuki Takaya a un don réel pour faire vivre ses personnages et leur faire exprimer leurs sentiments.

Bon alley, je vous laisse, je vais regarder le Tombeau des lucioles. (HA NON !)

jeudi, janvier 19, 2006

Voyage en Amérique, suite

Je vous l'avais dit, je pars en vacances au pays de l'Oncle Sam, le pays de la liberté et des grands espaces affranchis de la main de l'Homme. Et ben je vous raconte pas la galère ! Depuis le mois d'octobre, si vous n'avez pas de passeport biométrique ou de passeport datant d'avant octobre 2005, il vous faut obligatoirement un visa pour aller en voyage aux Etats Unis. Et obtenir un visa, ce n'est pas une mince affaire. Il faut se rendre à l'ambassade des USA à Paris, prendre un rendez-vous (au moins un mois et demi à l'avance), et surtout débourser des sous. Vous en faites pas, ils acceptent les euros. Pour le visa, il vous en coutera 85 €, pour la prise de rendez-vous par téléphone, 14,50 €. Il faudra aussi leur fournir des tas de justificatifs comme quoi vous n'êtes pas un terroriste et que vous ne voulez pas rester clandestinement dans leur pays (il faut donc prouver que vous aimer votre patrie et que vous voulez y revenir au bout de vos trois semaines de vacances).
Mon rendez-vous à l'ambassade étant prévu le 23 février, soit juste une semaine avant mon départ, je vous tiendrais au courant de l'évolution de l'affaire...

lundi, janvier 16, 2006

Ash, Lestat et Sudoku


Deux vieux souvenirs tombés du grenier et une nouvelle folie...
On commence par la folie qui apparemment s'en est prise à toute la France. Je débarque moi... Il s'agit du Sudoku, un jeu de réflexion. Le principe est tout bête, mais c'est très addictif (et surtout ça occupe merveilleusement bien mes soirées de "garde"). Pour plus d'infos et jouer en ligne, je vous conseille ce site : e-sudoku.fr. Bonnes parties !

On enchaîne avec ma soirée de samedi. Je suis allée prendre un verre dans un p'tit pub de la rue du Loup (à Bordeaux) et quelle ne fut pas mon étonnement quand je reconnus une musique familière mais oubliée depuis quelques années. C'était le deuxième album de Ash, sympathique trio irlandais, fier espoir du rock de la moitié à la fin des années 90 (oui, leur carrière aura été malheureusement trop brève, je me demande ce qu'ils sont devenus aujourd'hui). Entendre cet album après tant d'années a fait remonter en moi de nombreux souvenirs datant de l'époque du lycée. Et qu'est-ce que j'ai pu me sentir vieille ! Mais ce sentiment était atténué par le fait que, après toutes ces années, je me retrouvais dans ce pub où j'étais venue de nombreuses fois quand j'étais jeune et insouciante : je n'avais pas vraiment changé, j'étais restée la même, jeune et insouciante. Mais ça m'a menée à ce triste constat : je n'ai pas avancé depuis mes 18 ans. Ca m'a forcément un peu déprimée...

Et pour continuer dans cette nostalgie, hier soir, j'ai regardé pour la deux cent douzième fois Entretien avec un vampire, le film qui m'a ensorcelée, subjuguée, faite tomber sous le charme des vampires d'Anne Rice et de Tom Cruise, charme qui s'est malheureusement estompé aujourd'hui mais c'est une autre histoire. Le charme de Lestat agit toujours, la preuve, cette classe et ce charisme toujours présents malgré les années (et il est plus tout jeune Lestat). Entretien avec un Vampire est un de mes 10 films préférés (un jour il faudra que je fasse un top). Il est en tous points parfait. Les acteurs sont parfaits (choisir Tom-le-gendre-idéal pour interpréter un salaud, il fallait oser), les décors, les costumes, les maquillages, la musique, tout est parfait, esthétiquement, c'est vraiment un très bel objet cinématographique. L'adaptation, même si elle prend des libertés par rapport à l'oeuvre d'Anne Rice, fait de très bons choix et il en résulte un film délicieusement provocateur (l'homosexualité déguisée, je n'avais pas vu tout ça à l'époque, j'étais trop jeune) et pourtant très romantique.
Ah Lestat, adolescente, j'ai rêvé tant de fois que tu m'enlevais, mais tu n'es jamais venu... SALAUD !! ;)

dimanche, janvier 15, 2006

Merci

Oui, je tiens à remercier la technologie ! J'avais écrit un gros pavé sur Lord of War (que j'ai vu hier au cinéma), Netscape s'est fermé sans prévenir et bien sûr, je n'avais pas sauvegardé... T_T Je n'ai donc plus le courage pour le moment de tout retaper, surtout que je ne sais plus trop ce que j'avais écrit.
Alley, je vais essayer de m'y remettre (mais aprés manger...)